🚀 Faites décoller votre patrimoine sans effort grâce au classement des 7 revenus les plus passifs

Ah, les revenus passifs! Gagner de l’argent sans rien faire : qui peut dire qu’il n’en n’a jamais rêvé? Cela ne fera pas de vous une meilleure personne et ne vous procurera peut-être définitivement le sentiment éternel d’une vie réussie, mais cela vous apportera à coup sûr de la liberté, du choix pour votre vie.

Il deviendra beaucoup plus facile d’accomplir vos objectifs de vie avec de l’argent qui arrive tout seul plutôt qu’en passant 12 heures par jour à travailler pour le gagner.

Alors, que sont les revenus passifs? Existent-ils vraiment? Peut-on mesurer le niveau de passivité d’un revenu?

Cet article va répondre à ces 3 questions et surtout vous donner le classement des revenus passifs les plus intéressants ; c’est-à-dire ceux dont vous pouvez attendre les meilleurs rendements par rapport aux efforts fournis.

Evidemment, s’il était facile de se créer des revenus passifs, tout le monde le ferait. Vous ne verriez plus d’embouteillages sur les périphériques des grandes villes au petit matin, car plus grand monde ne se hâterait pour être à l’heure au bureau ou à l’usine.

🔦 Dans ce classement, vous pourrez chercher les revenus passifs qui correspondent le plus à votre situation et à vos objectifs.  Oui, il est possible de mettre en place des flux de revenus efficaces.

Idéalement, avant d’analyser les revenus passifs qui sont les meilleurs pour vous, vous devriez avoir défini vos objectifs pour atteindre votre meilleur mode de vie, par exemple en téléchargeant le guide “Financer sa vie, niveau 1” ou avec un coaching.

🤓 Un revenu passif, c’est quoi?

“Revenu” désigne le fait de gagner de l’argent, “passif” précise que cela se fait sans action. Percevoir des revenus passifs signifie donc “être payé à ne rien faire”.

Evidemment, on connaît tous des salariés “planqués”, “fainéants”, “placardisés”, mais leurs revenus sont rarement totalement passifs : ils doivent souvent à minima se rendre sur un lieu spécifique même pour ne rien faire et / ou rendre quelques comptes à des chefs et n’ont que rarement choisi cette situation. Il existerait aussi des “rentiers”, mais est-on certain que l’argent tombe sans aucune action ?

Gagner de l’argent sans rien faire du tout est bien entendu exceptionnel. Générer des revenus requiert au moins un minimum d’investissements au départ : apport financier, effort physique ou effort intellectuel. Cela prend du temps et de l’argent. Finalement, le revenu passif est une forme de revenu actif, dont l’effort d’acquisition se fait principalement en amont de la mise en place du flux financier.

😎 Pour la première fois, une méthode de calcul de la vraie passivité des revenus

“Financer sa vie” propose le premier calcul de la passivité des revenus. J’en ai assez des experts en finances présentant des revenus passifs qui n’ont de passif que le nom. C’est pourquoi, pour faire le tri entre les différents revenus, une méthode a été déployée pour y voir clair.

Les revenus les plus passifs sont ceux qui maximisent le ratio “gain / effort” que l’on peut appeler “taux de passivité” :

Tp = G / E

où Tp est le taux de passivité, G le gain et E l’effort consenti pour ce gain.

Pour maximiser le taux de passivité, il faut donc diminuer l’effort et augmenter le gain.

Plus Tp est important, plus le revenu est passif.

Reste à savoir comment calculer le gain G et l’effort E.

Le gain G est la rentabilité attendue du projet modérée par la probabilité de réussite. Par exemple, faire du drop shipping peut vous rapporter beaucoup d’argent. Mais trouver le bon produit et faire sa place dans la jungle de la concurrence donnera une probabilité de réussite plutôt faible. A contrario, vendre des affaires inutiles dont vous disposez ne vous rapportera probablement pas de gros montants mais les chances de réussite sont très élevées à partir du moment où vous les vendez au prix du marché. Le Gain attendu se calcule avec :

G = R * P

où R est le revenu espéré, noté entre 0 et 100, et P la probabilité de réussite de l’opération, évaluée entre 0 et 100 %.

L’effort E consenti pour obtenir le gain G résulte de la composante de 3 variables :

• l’investissement financier de départ pour déclencher les revenus passifs (If), noté sur de 0 à 5,
• le temps consacré à la création de votre flux de revenus passifs (Tc), noté sur de 0 à 5,
• le temps consacré à la gestion routinière de votre flux (Tg), noté sur de 0 à 5,

L’effort E se calcule donc de la façon suivante :

E = If + Tc + Tg + 1

Le taux de passivité va donc de 0 (revenu tout à fait actif), à 100, revenu complètement passif. Pour obtenir la note de 100, il faudrait que sans n’avoir jamais rien fait, on vous verse régulièrement des montants importants d’argent sur votre compte. Parmi les 20 sources de revenus passées au crible de notre méthode, les notes vont de 0,3 à 12,8.

💶 Le classement des 7 meilleurs revenus passifs 💶

La passivité se caractérisant par un effort minimal de mise en place et de gestion du flux financier, le classement fait la part belle aux revenus facilement mis en place et simples à gérer.

📈Numéro 1 : investir en bourse dans des ETF (taux de passivité = 12,8)

Les ETF ou trackers sont des produits financiers qui répliquent un indice. En achetant l’ ETF (Exchange Traded Fund) suivant le principal indice de la bourse américaine, le S&P 500, vous achetez une proportion de chacune des 500 entreprises cotées composant cet indice. Vous pouvez faire cela en une fois, sur un PEA pour profiter d’avantages fiscaux, et regarder l’évolution de l’indice au quotidien pour savoir de combien vous êtes plus riche. Le plus intéressant est de placer vos ETF sur un Plan d’Epargne en Action afin de bénéficier d’avantages fiscaux. en effet, si vous retirez de l'argent de votre PEA après 5 ans, les gains sont exonérés d'impôt sur le revenu. Vous serez redevable des prélèvements sociaux, à hauteur de 17,2% de vos gains.

Gain (G) : cet investissement arrive 2ème de notre classement. Son gain suivra celui du marché sur lequel vous avez investi. Sur le marché américain, vous pouvez espérer au moins 8% de rendement annuel.

Effort (E) : investir dans les ETF arrive largement 1er en efforts consentis pour mettre en place ce flux. La principale, et seule réelle contrainte, est de disposer de fonds pour l’investissement initial. si vous n’investissez qu’une fois au départ, vous n’aurez plus jamais rien à faire pour bénéficier d’un flux de revenus passifs.

Cette contrainte n’est toutefois pas bloquante puisque vous pouvez également mettre en place des versements mensuels automatiques ou manuels (environ 5 minutes par mois, temps de connexion à votre banque en ligne compris).

Avec un score de 12,8 points, investir dans les ETF arrive largement en tête des revenus les plus passifs. Pour en savoir plus, je vous recommande d'aller voir ce site, grâce auquel je me suis lancé.

🥳 Numéro 2 : Investir dans l’immobilier à financement participatif (taux de passivité = 11,2)

Ce type d’investissement se fait via des plateformes spécialisées ou parfois depuis votre banque en partenariat avec ces plateformes. Comment ça marche ? Certains promoteurs complètent le financement obtenu auprès des banques par un appel à la souscription auprès du grand public. Vous pouvez donc souscrire à partir de 1000 euros à un financement participatif, le plus souvent pour une durée de 9 à 36 mois avec un rendement attendu de 8% à 10% par an. Vous intervenez sur l'économie réelle, des biens immobiliers vont pouvoir sortir de terre. C'est rapide à mettre en place, avec un gain très intéressant et aucune gestion. Seul problème possible, le non aboutissement du projet par la faillite du promoteur par exemple aboutirait à une perte partielle ou totale de la somme investie.

les intérêts perçus sur un tel investissement sont assujettis au régime du Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 %, soit 12,8 % au titre de l'impôt sur le revenu (IR) et 17,2 % au titre des prélèvements sociaux.

Gain (G) : 8% à 10% annuel, c'est un superbe résultat, quelle que soit la passivité du revenu. Le risque de faillite du promoteur, bien que peu probable, ne peut toutefois pas être totalement exclu.

Effort (E) : Les efforts de mise en place sont très faibles. En moins de 10 minutes, vous aurez validé votre placement. Une veille est nécessaire pour se tenir informé des programmes en cours car vous ne pouvez souscrire que sur une certaine période, de quelques semaines en général. Une fois le programme réalisé, vous récupérez votre investissement et les intérêts et pouvez chercher une nouvelle opportunité. Entre l’investissement et la période, rien à faire.

🌇Numéro 3 : investir dans les Sociétés civiles de placement immobilier (taux de passivité = 7,5)

La SCPI collecte de l’argent auprès de nombreux investisseurs dans l’unique objectif d’acquérir et gérer un patrimoine immobilier destiné à la location.

Pour investir au sein d’une SCPI, vous devez acquérir une ou plusieurs parts du capital de la société. En moyenne, une part vaut entre 150 € et 1 000 €.

Pour acheter des parts, vous pouvez vous rapprocher directement d’une société civile de placement immobilier, ou bien d’un intermédiaire, comme une banque par exemple.

Les dividendes issus d’une SCPI sont soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu et doivent être déclarés comme revenus fonciers. L’investissement locatif par le biais d’une SCPI peut générer un déficit foncier et donc participer à réduire votre impôt sur le revenu.

Gain (G) : il est raisonnable d’attendre environ 5% de rendement de son investissement dans une Scpi, ce qui est très satisfaisant. Vous recevrez vos dividendes mensuellement ou trimestriellement sur votre compte en banque. Vous pouvez également espérer une appréciation de la valeur des parts acquises pour arrondir ce chiffre à la hausse.

Effort (E) : un petit effort de compréhension du mécanisme sera à faire au démarrage mais administrativement, l’achat de parts de SCPI est très simple. Annuellement, vous n’oublierez pas la ligne qui va bien sur la déclaration d’impôts et le tour est joué.

🥳 Attention, dernier groooooos avantage de cet investissement, vous pouvez bénéficier du levier de l’emprunt. Contrairement à tout investissement en bourse ou en crowdfundind, les banques peuvent vous prêter de l’argent dans des conditions tout à fait similaires à un achat immobilier plus conventionnel.

💰 Numéro 4 : investir en bourse dans des actions (taux de passivité = 7)

Nous revenons à la bourse pour cette fois investir dans des actions. Si je vous recommande le même support que pour les ETF, à savoir le PEA, pour bénéficier des avantages fiscaux, l’investissement vous demandera un peu plus de travail préalable. Vous avez deux choix :

• investir dans un fonds détenant plusieurs action pour diversifier votre portefeuille et faire confiance à un vrai professionnel,
• choisir vous-mêmes les actions dans lesquelles vous souhaitez investir.

Je penche plutôt pour la deuxième solution. Dans ce cas, vous choisirez avec soins vos actions en étant attentif à la situation des entreprises dont vous souhaitez acheter une part. Vous examinerez par exemple les dividendes versés annuellement, qui constitueront l’essentiel de votre rente passive. Il est très difficile de savoir à quel moment acheter, alors vous pouvez lisser votre investissement sur plusieurs mois ou années : chaque mois, vous investissez une somme fixe dans les actions qui vous paraissent les plus prometteuses. Je vous recommande de détenir au moins 5 actions différentes (10 si vous le pouvez) dans votre portefeuille, pour éviter toute catastrophe liée à une problématique spécifique que rencontrerait l’une des entreprises.

Gain (G) : vous pouvez espérer un rendement équivalent à ceux des ETF si vous sélectionnez avec soins vos actions. Certains arriveront à faire un peu mieux que les 8% espérés, la plupart des fonds gérés par les professionnels seront moins bien qu’un ETF.

Effort (E) : vous devrez choisir vos actions et / ou obligations et donc travailler bien plus que pour investir sur un ETF. Le montant à investir est modulable selon vos disponibilités. En gestion, pas grand chose de compliqué ni de prenant en temps. Vous aurez une certaine routine installée qui vous mobilisera peu.

🚘 Numéro 5 : location de parkings (taux de passivité = 4,4)

Dans les grandes villes, les espaces de stationnement sont saturés, alors proposer des places de parking peut-être un investissement rentable. La location de parking diffère d’une location classique d’appartements par deux principaux points :

• l’entretien d’un parking est quasi nul alors que celui d’un appartement peut être compliqué,
• l’investissement financier est plus facilement modulable car bien plus faible que pour un appartement.

La plupart du temps, il est nécessaire d’acquérir plusieurs lots pour générer un revenu intéressant. C’est aussi de cette affaire que le prix unitaire sera plus intéressant.

Gain (G) : un rendement supérieur à 5 % est tout à fait envisageable. Vous devriez bénéficier d’une vacance locative faible si vous avez bien géré les 3 critères d’un investissement immobilier : l’emplacement, l’emplacement et l’emplacement.

Effort (E) : trouver les lots de parking ne sera pas facile, gérer les annonces et les remises des clés vous prendra aussi du temps (vous pouvez déléguer mais le rendement sera rogné de moitié). Vous serez toutefois moins sollicité que pour une location d’appartements.

🛌 Numéro 6 : louer des pièces dans votre maison (taux de passivité = 4,3)

Parfois, vos besoins en logement changent et vous n’avez plus besoin d’autant d’espace qu’auparavant. Pourquoi ne pas alors mettre en location une chambre de votre résidence principale. Plusieurs formules sont possibles : un bail étudiant pour une personne occupant l’espace à l’année ou une location en courte durée. Ce dernier cas peut-être intéressant si vous souhaitez conserver une certaine disponibilité de la chambre (garde alternée par exemple). Vous pouvez alors passer par les plateformes habituelles de la courte durée, comme Airbnb, booking ou Abritel. Ce revenu passif est très facilement réversible et ne mobilise rien financièrement. Si vous avez une pièce libre chez vous, cela vaut le coup de tenter l’expérience et vérifier que la cohabitation avec une personne que vous ne connaissez pas est possible.

Gain (G) : rendement garanti positif car pas ou très peu d’aménagements à envisager. Une chambre peut se louer entre 20 et 40 euros par nuit en courte durée selon votre lieu de résidence. Pour un étudiant, cela peut aller de 200 à 350 euros selon le niveau de prestations proposées.

Effort (E) : financièrement, comme nous l’avons vu, pas ou peu d’investissement. La gestion (administrative, nettoyage, entrées et sorties) n’est pas à négliger, notamment en cas de changements fréquents d’occupants. Les déclarations annuelles aux impôts sont aussi à réaliser.

🏧 Numéro 7 : gestion de distributeurs automatiques (taux de passivité = 4)

Voici l’idée la plus originale de notre classement. Elle n’est pour autant pas dénuée d’intérêt. L’investissement est raisonnable, entre 1 500 et 5000 euros. Il s’agira alors de trouver des entreprises intéressées pour bénéficier de vos services puis d’alimenter les machines toutes les deux semaines environ afin de disposer d’un stock suffisant pour les clients. Vous profiterez de l’occasion pour récupérer vos gains. Vous pouvez même engager quelqu’un pour faire l’encaissement et le réapprovisionnement à votre place.

Gain (G) : si vous choisisssez des produits à haut rendement et un lieu de passage, la rendement peut être très intéressant.

Effort (E) : au démarrage, un temps assez important doit être consacré au choix du produit mais aussi et surtout pour trouver le meilleur emplacement pour vos machines. En gestion routinière, si vous avez investi dans du bon matériel qui vous évitera des pannes, le temps à consacrer est de quelques heures par semaine en moyenne.

🧐 Prix spécial : le chômage (taux de passivité = 9 )

Un soir ma fille de 7 ans s’est intéressée à mes travaux pour alimenter cet article. Elle a lu le début de l’article et m’a posé quelques questions sur le sujet. Puis elle m’a dit “Le mieux pour gagner de l’argent sans travailler, c’est le chômage”. J’ai trouvé ça limite réac sur le coup. Puis le lendemain, j’ai passé l’idée au crible du calcul de passivité. Il faut reconnaître que le résultat est bon, très bon même. Après tout, ne dit-on pas que 7 ans, c’est l’âge de raison !

Gain (G) : de plusieurs centaines à plusieurs milliers d’euros par mois pendant 6 à 36 mois, soit 3 ans, selon votre situation. Et le montant est garantit par l’Etat.

Effort (E) : pour une indemnité chômage intéressante, il faut tout de même un effort initial important, de plusieurs années de travail salariés par exemple. En revanche, en gestion, c’est assez tranquille.

Bon, est-ce que “jouer” avec les indemnités chômage, c’est profiter du système ? Je ne sais pas, et ma fille n’a pas su me dire non plus ;-)

🛎️ Et après ?

Les 13 autres sources de revenus passifs analysés (ceux obtenant les moins bons résultats) sont :

• Investir dans l'immobilier locatif,
• Vendre des affaire inutiles,
• Louer sa voiture en covoiturage,
• Ouvrir une laverie automatique,
• Acheter et vendre des noms de domaine,
• Faire du dropshipping,
• Concevoir et vendre des produits digitaux,
• Marketing d'affiliation,
• Proposer des prêts entre particuliers,
• Créer une chaîne Youtube ou un podcast,
• Ecrire un livre,
• Créer des applications,
• Influenceur Instagram.

J’espère que ce calcul de la passivité des investissements vous aidera sur votre chemin. Pour retrouver le détail du classement des 20 revenus analysés, il vous suffit d’accéder à notre boîte à outil en devenant membre de ce site.

N’hésitez pas à m’écrire à xavier@financersavie.com pour parler de votre situation.

"Ne croyez rien, peu importe où vous l'avez lu, ou qui l'a dit, à moins que cela ne s'accorde avec votre raison" : Bouddha.